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Silvia Droste and Dado Moroni




Horace Silver
This is easily one of the best “real” jazz singers in a long time…


Oscar Peterson
A beautiful voice, excellent talent, it was a pleasure to have met another jazz singer with great scatting ability…Silvia you are admired…


The Sunday Observer, Colombo/Sri Lanka
Knock out café jazz
…fascinating range and concert style, echoes of Bertha ‘Chippie’ Hall and Mildred Bailey. She achieves the natural halfway between the wildly lascivious and a composed musical state which preserves a range of voice with mahagony polish…


The Times of India
Droste is a superb jazz singer – great voice, deep and resonant and with an excellent sense of phrasing. And she can scat sing competently too…


The Indian Post, Bombay
…Silvia sang the blues and had the audience with her…with passion and drive…
the audience sincerely wanted more


Sudanow (Sudan)
introduced Silvia, their talented 23 year old singer. Silvia’s strong, energetic delivery, and her charming, effervescent personality delighted the audience…


Evening Telegraph Derby/GB
... the trombone solos contrasted superbly with the neat improvisations from 23-year-old Silvia Droste's sax, her delayed deliveries and excursions into fluid melodic streams sounding not unlike an alto version of Bud Freeman. Her vocals... bore a classy stamp of vintage Billie Holliday...


Le Rotary: Soirée Jazz
Silvia Droste, pétillante blonde au look très glamour a tout compris du jazz façonné par les grandes chanteuses noires, qu’il s’agisse de Bessie Smith, d’Ella Fitzgerald ou de Billie Holiday. Mais elle a aussi compris que son rôle est de s’inscrire dans la continuité du travail réalisé par de grandes chanteuses blanches comme Anita O’Day, Chris Connor ou Ann Burton.
Et là, de sa voix qui se plie admirablement aux partitions ellingtoniennes les plus tortueuses, objet de son dernier disque et de sa prestation sarregueminoise, elle atteint une perfection vraiment personnelle. Avec une diction irréprochable, une brillance dans l’expression et cette capacité à restituer, dans l’hommage rendu au Duke, ce swing rentré qui lui est si caractéristique, la chanteuse a donné, stimulée par une belle équipe de musiciens un pur moment de plaisir au public.
(Dernières Nouvelles d’Alsace)



Acrobaties vocales
Silvia Droste, par de sublimes duos avec le saxophone ou la batterie, doux, tendres, sensuels et passionnés, comme autant de dialogues amoureux, a fait succomber le public sous son charme. Et de quitter par un magnifique a capella dans la salle…
(Sarreguemines)
 


Les explorations de Silvia Droste
JIM aime offrir des surprises à son public : hier,…les festivaliers ont pu découvrir le Silvia Droste Quintet, formation totalement improvisée. Le « complot » fut montée la veille par la belle chanteuse allemande et son complice Hervé Sellin…il y a deux ans, sur la scène du Off.
« La voix est mon instrument. J’ai commencé à chanter en public dès à l’âge de 14 ans. J’ai appris le saxo mais j’ai arrêté lorsque je me suis rendu compte que je pouvais aussi jouer avec ma voix », explique Silvia Droste, qui en plus d’avoir été professeur de langue, anima durant plusieurs années des émissions radiophoniques et télévisées sur le jazz. Elle revendique toutes les influences (« j’ai appris à chanter tous les styles de jazz en suivant leurs évolutions historiques ») mais ne souhaite pas se cantonner à certains courants. Seule compte l’émotion et la manière de les restituer…
(La Dépêche, Marciac)


Quand le jazz redresse les tuiles
…Et puis tout à coup Silvia Droste, jusqu’ici accroupie dans un coin, se redresse et prend le micro. Une nana comme ça, quand on la voit, on se dit qu’on voudrait bien recommencer sa vie. Sa voix dit tout. Par caresse et coups de griffe. Vocal je veux dire. Fait crisser les nerfs, effeuille. Ça va être le brame des cerfs, je le sens. Même le chien écoute au carreau. Réel. Ecoutez là dans « Mister B », là où il se passe davantage de choses en 32 mesures qu’en quatre-vingt-quinze minutes de musique, ou dans « Oldfashioned ». De l’inox.
Dans la petite maison du Borinage où le souvenir de l’industrie perdue n’en finit pas de mourir à tous les coins de rue, le jazz a redressé les tuiles. En lâchant ses oiseaux.
(La Voix du Mardi , Maubeuge)


Jazz à Ouagadougou : Silvia et Michael pour le jazz et sans le pire !
…Un coup de foudre musical…. Une grande émotion et une intense sensibilité se dégagent de cette excitation commune au langage universel du jazz, de la musique et, disons-le franchement, personne ne reste indifférent. C’est tout simplement captivant et envoûtant tout à la fois… C’était magique.
(Le pays, Burkina Faso)


Critique CD « Stardust Melodies »
J’ignore tout de Silvia Droste, excepté qu’elle est jeune et probablement allemande.
Mais je peux vous affirmer que sa voix exerce une séduction à laquelle je n’ai pas résisté. Il est des défaites qui rayonnent plus que des victoires. Imaginez un mélange de Helen Merrill et de Carmen McRae, plus une bonne dose d’indéfinissable qui n’appartient qu’à elle justement.
Un mélange fort, original et enivrant. Ne vous esquivez pas, je ne vous le pardonnerais pas.
(Pierre Schavey)


Jazz sur la croisette
Premier Festival de jazz à Cannes… Les bonnes surprises n’ont pas manqué. La jeune chanteuse allemande Silvia Droste possède d’évidentes qualités qui devraient lui ouvrir les portes de bien d’autres scènes festivalières dans l’avenir.
…elle n’eut aucun mal à séduire son public par son sens du swing… et, sans doute, par son physique…
(Jazz Hot)


Après « Jazz à Cannes »
Silvia, incontestablement la meilleure chanteuse allemande, a dan son jeu tous les atouts qui en feront à brève échéance une vedette de niveau international : une voix et une technique impeccables, une étonnante intelligence d’interprétation et du swing à revendre. Et puis, elle est belle… Que demander de plus ?
(Cannes)